Je te dis vous

Vous viviez comme un prince je chantais pour trois sous

Dan un bal de province et je rêvais de vous

A la fin du polar, quand vous ne mouriez pas

Comme je l'enviais la dame qui souriait dans vos bras

Je vous aurais aimé avant de vous connaître

Mais vous aurais connu avant de disparaître

Je ne suis pas peu fière, mais je tiens à en rire

Entre toi et le poster j'ai du mal à choisir

Et je te dis vous

M'avez éblouie

Moi qui n'étais rien

Vous qui aviez tout

Vous m'avez dit tu

Es belle, toute en noir

Quand vous êtes venu

M'écouter un soir

C'était au mois de mai, je m'en souviendrai toujours

J'étais morte d'angoisse, vous sachant la dans l'ombre

Puis sont venus vos fleurs et l'espoir d'un amour

Vous le grand, moi la petite, soyez la si je tombe

La gloire est si fragile mais bien moins que mon coeur

On dit qu'elle est le deuil éclatant du bonheur

A la fin du polar, si vous deviez mourir

J'essaierais c'est promis de garder le sourire

Et je te dis vous

M'avez éblouie

Moi qui n'étais rien

Vous qui saviez tout

Vous m'avez dit tu

Es belle, toute en noir

Quand vous êtes venu

M'écouter un soir

Et je te dis vous

M'avez éblouie

Moi qui n'étais rien

Vous qui saviez tout

Vous m'avez dit tu

Es belle, toute en noir

J'étais si émue

Sous votre regard

Quand vous êtes venu

M'écouter un soir

Vyšlo na albech